Le projet WACA ResIP dispose désormais d’un mécanisme de gestion des plaintes.

Le projet WACA ResIP dispose désormais d’un mécanisme de gestion des plaintes.

Partager sur :

Facebook
Twitter
LinkedIn

Pour une bonne exécution  du  projet d’investissement des zones côtières en Afrique de l’Ouest (WACA ResIP), il était important de mettre en place un Mécanisme de Gestion des Plaintes (MGP). C’est ce document qui a été soumis à validation aux différents acteurs, lors  d’un atelier d’examen, d’analyse et d’appropriation. Tenu le 13 septembre 2019 à Lomé, cette rencontre a été présidée par Dr Kodjo Kudadzé,  directeur de cabinet du Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et de la Protection de la Nature (MEDDPN).
La mise en œuvre du projet  WACA met ensemble différents acteurs et parties prenantes, qui sont appelés à agir ensemble, afin de parvenir aux résultats concrets, dans l’optique de réduire la pauvreté et de relancer la croissance économique et sociale.
Pour permettre à ces parties prenantes d’éviter les situations de conflits dans la mise en œuvre du projet, il est indispensable pour la pérennité des actions de terrain de mettre en place un mécanisme de gestion des plaintes, dont la finalité sera de prévenir, neutraliser et résoudre les tensions qui peuvent surgir lors de l’exécution.
Selon le Cdt Bakatimbé  Tchannibi, coordonnateur national du projet WACA, Le MGP est un document qui met en place un processus de gestion des plaintes à divers niveaux. Ces organes seront représentés au niveau local par des chefs de villages et des chefs cantons. Au niveau communal, l’organe sera représenté par des maires et des conseillers. Au niveau préfectoral,  il y aura des commissions de développement durable. Le niveau central et national sera respectivement chapeauté par l’unité de gestion du projet et un organe national de haut niveau logé au sein du MEDDPN. Le souhait de tous a-t-il dit, c’est de voir l’essentiel des problèmes réglé à l’amiable.
Le projet WACA a rappelé Dr Kodjo, est une déclinaison nationale du projet régional et une réponse collective de six pays au besoin urgent de lutter contre la dégradation de leur littoral, selon une approche régionale intégrée. Au Togo a-t-il poursuivi, les plus hautes autorités y accordent une attention particulière.
C’est un projet de 5 ans dont les activités se résument aux grands travaux d’ingénierie, de protection de la côte, de lutte contre les inondations notamment les bassins d’orage.

 

Effectuer votre recherche