Dans le cadre du projet « renforcement des capacités sur les indicateurs de durabilité du Partenariat Mondial pour la Bioénergie dans les pays de la CEDEAO », le ministère de l’Environnement et des Ressources forestières (MERF) a organisé avec l’appui de la CEDEAO, de la GIZ et de la FAO, la deuxième phase après celle qui a eu lieu le 24 octobre dernier. Le secrétaire général du MERF, Sama Boundjouw a ouvert les travaux de cet atelier, ce 21 novembre 2018 à Lomé.
Comment concilier l’utilisation de la bioénergie avec la conservation des ressources forestières, c’est ce qui réunit les experts nationaux autour de la FAO. En Afrique, le Togo et le Ghana, sont des pays pilotes dans lesquels ce partenariat est en cours. A termes, il s’agira d’avoir, un potentiel de production et d’utilisation de la bioénergie pour mieux contribuer aux réductions des gaz à effets de serre.
« L’atelier de ce jour nous offre l’occasion de discuter des résultats et des informations obtenues à travers le diagnostic posé lors du premier et des mesures possibles pour améliorer la durabilité de la bioénergie au Togo » a dit le SG Sama Boundjouw. Faire une bonne formulation de projets pertinents pour l’émergence d’une filière bois énergie structurée, dynamique et durable au Togo, c’est le souhait de M. Sama.
« Ce second atelier fait suite au premier au cours duquel on a fait un diagnostic des formes d’utilisations de la bioénergie au Togo, de l’état des lieux, du disponible et des perspectives. Aujourd’hui, nous allons ensemble réfléchir sur les 24 indicateurs afin de choisir ceux qui sont pertinents pour le Togo» a déclaré le chargé de programme à la FAO, M. Djiwa Oyétoundé.
